l'ombre d'une ray7ana


C'est ma pemière photo sur "tsawerwhkayat" ça me fait plaisir d'y participer :)
Cette fois ça sera taswira sans 7keya mais promis la prochaine sera nchallah avec sa propre 7keya ;)

Dodo le Louvre Do...


Louvre by night...

Ali Baba

مخزن إمسكّر

Comme au bord de la mer







Comme au bord de la mer sur le front de séparation

sur la frontière pendulaire

Le temps donne et retire

Assène et étale,

Vomit, ravale,

Livre regrette,

Touche, tombe, baise et gémit

Et rentre à la masse,

Rentre à la mère,

Eternellement se ravise

Sur le front battu de la mer

Je m’abîme dans l’intervalle de deux lames…

Ce temps à regret

Fini, infini…

Qu’enferme ce temps ?

Quoi se resserre, quoi se rengorge ?

Que mesure, et refuse, et me reprend ce temps ?

Imposante impuissance de franchir, O Vague

La suite même de ton acte est se reprendre,

Redescendre pour ne point rompre

L’intégrité du corps de l’eau

Demeurer mer et ne point perdre

La puissance du mouvement

Il faut redescendre

Grinçante, à regret, se réduire et se recueillir,

Se confondre au nombre immuable,

Comme l’idée au corps retourne,

Comme retombe la pensée

Du point ou sa cause secrète

L’ayant osée et élevée,

Elle ne peut toujours qu’elle ne s’en revienne

A la présence pure et simple, A toutes choses moins elle-même,

Elle-même jamais longtemps,

Jamais le temps

Ni d’en finir avec toutes choses,

Ni de commencer d’autres temps…

Ce sera toujours pour une autre fois

Une infinité de fois

Un désordre de fois

Entends indéfiniment, écoute

Le chant de l’attente et le choc du temps,

Le bercement constant du compte,

L’identité, la quantité,

Et la voix d’ombre vaine et forte,

La voix massive de la mer

Se redire : Je gagne et perds,

Je perds et gagne…

Oh Jeter un temps hors du temps

Plus que seul au bord de la mer,

je me livre comme une vague

A la transmutation monotone

De l’eau en eau

Et de moi en moi


Paul Valery

L'oasis....

Ni une piscine,
Ni acqua palace,
Ni acqua flipper,
Ni Eden park,
PEUVENT REMPLACER CETTE JOIE

Heureux d'être Puni


Le paradis de Bourguiba...

A suivre....

على حبل الغسيل




مشغولة بإخفاء ما في حوزتي لارتدائه في مناسبة واحدة... لرجل واحد

يا لجمال ما نرتديه وما نخلعه مرّة واحدة لكائن واحد ... هو نفسه دائماً كما في المرّة الأُولى، كما في


المرّة المقبلة، كما في آخر مرّة من العُمر


بين موعدين...في إمكان ثيابنا أن تنتظر في خزائن اللَّهفة· هي على عيد، فلا تُشفقوا عليها


ما العيد.. إلاّ انتظار العيد

أيُّها العشّاق، أخفُوا فرحتكم، تستّروا على أعيادكم السريّة، دلِّلوا ثيابكم الجميلة بالانتظار

الانتظار هو حِرقة العِشق الأُولـى

أحلام مستغانمي


Au café des délices

Ras Jebel, les pieds dans l'eau.

Je commence ma petite contribution à cette jolie idée, par des photos de la mer de Ras Jebel ( représente mon p'tit pat'lin :p ).

Voila c'est la mer en 2004, malheuresement depuis jlai pas revu aussi propre : (

La ballade des cimetiéres



J'ai des tombeaux en abondance,

Des sépultur' à discrétion,

Dans tout cim'tièr' d' quelque importance

J'ai ma petite concession.

De l'humble tertre au mausolée,

Avec toujours quelqu'un dedans,

J'ai des p'tit's boss's plein les allées,

Et je suis triste, cependant...

La ballade des cimetiéres de georges Brassens


ecouter la chanson

lire les paroles

Mnawrine ?

Effet double


Silence ... ça déstresse ...

Toc Toc Toc


L'ouverture d'une porte inhabituelle est toujours accompagnée d'une gamme variée d'impressions et de sentiments.

It's a long way to home ...

Another summer day
Has come and gone away
In Paris and Rome
But I wanna go home
Mmmmmmmm

Another aeroplane
Another sunny place
I’m lucky I know
But I wanna go home
Mmmm, I’ve got to go home

Let me go home
I’m just too far from where you are
I wanna come home



Le ciel, la mer, le silence...



voir le soleil enflammer le ciel

Plusieurs fois j’ai terminé la journée sur la colline de l’altitude 100 a uccle. Au bout d'une petite place, cette colline domine la ville.
Mettre ses écouteurs.
Oublier ses soucis.
Ne plus pensé a rien
Le silence autour.
Voir le soleil enflammer le ciel.
Ephémère mais tellement merveilleux.



Blowin' In The Wind